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Merci la dyscalculie

Pourquoi une collection « Gestion de Classe Efficace » ? La collection « GESTION de CLASSE EFFICACE» apporte aux enseignants et aux élèves des savoirs et savoir-faire liés à la qualité de l'encadrement de la vie de classe. Chacun apprend d'autant mieux qu'il se trouve dans un contexte émotionnel,... Lire la suite...

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Pourquoi une collection « Gestion de Classe Efficace » ?

La collection « GESTION de CLASSE EFFICACE» apporte aux enseignants et aux élèves des savoirs et savoir-faire liés à la qualité de l'encadrement de la vie de classe.

Chacun apprend d'autant mieux qu'il se trouve dans un contexte émotionnel, relationnel, culturel et pédagogique de haut niveau.

Pourquoi ce livre « MERCI la dysCALCULIE » ?

Ludivine HALLOY et Anne-Catherine JAMART mettent leur expérience pratique ET théorique au service de l'ensemble de la classe.

Plutôt que d'insister sur des traitements particuliers pour des élèves porteurs d'un trouble de la dysPRAXIE, l'enseignant offre ainsi un environnement pédagogique de qualité, des aménagements légitimes pour quelques-uns au bénéfice de TOUS ! Cela permet d'affirmer : « MERCI les DYS ».

Voici un extrait de leur introduction :

Kosc définissait déjà la dyscalculie en 1974 comme la difficulté au niveau des performances en mathématiques résultant d'un déficit situé dans les parties du cerveau qui sont impliquées dans le traitement du calcul; cette difficulté se manifesterait en l'absence d'une atteinte concomitante des fonctions mentales générales. Cependant, c'est un trouble pour lequel la recherche s'est développée très tard. Il en va de même pour la didactique des nombres par rapport aux didactiques en linguistique.

La dyscalculie est beaucoup moins étudiée que la dyslexie car il existe un genre de « fatalisme » lié aux mathématiques. Contrairement aux difficultés en lecture, on dira plus facilement : « Il n'a pas la bosse des maths, il est nul en calcul mental, … ». Cette affirmation est aujourd'hui totalement remise en cause par des neuroscientifiques reconnus : Stanislas Dehaene et Marie Almaric ont mis en évidence que la «zone des maths» serait présente chez tous les individus, dès la naissance, et se développerait à force de pratique et d'entraînement. Autre découverte d'importance : aucune recherche n'a pointé la moindre disparité entre les filles et les garçons. En la matière, la seule différence résiderait dans le poids de l'éducation et des stéréotypes qu'elle véhicule.

Pour « travailler » la dyscalculie, les cadres théoriques sont complexes, les causes apparaissent nombreuses et les facteurs d'influence multiples. L'apprentissage des nombres et des opérations s'avère fastidieux et compliqué car il fait intervenir des mécanismes cognitifs variés tels que le verbal, le visuo-spatial, le mnésique, etc...